PRESSE


Concertclassic

Grand atout de cette Chute, sa distribution, simplement parfaite (voix et clarté de la diction, autant que physique de l’emploi), n’a pas varié depuis l’origine. (…) Au clavier, Emmanuel Christien est un acteur essentiel d’un spectacle qui trouve chez Debussy la solution à l’inachèvement de l’opéra en puisant dans les mélodies et les préludes du compositeur. Déjà en exceptionnelle osmose avec le drame dans la précédente version, le pianiste va plus loin encore cette fois sachant non seulement respirer avec les chanteurs-acteurs (les préludes choisis deviennent le support de formidables mélodrames où la musique semble avoir été pensée pour le texte), mais aussi avec l’image qui accompagne ce que Debussy qualifiait d’histoire « triste à faire pleurer les pierres ».
Alain Cochard


Opus Hd magazine

« Entouré de Mathilde Borsarello Herrmann au violon, de Florent Pujuila à la clarinette, de Gauthier Herrmann au violoncelle, Emmanuel Christien déploie une palette de coloris à la fois subtile et incarnée, laissant le flot musical s’épanouir au cœur d’une inspiration de chaque instant. Le tout forme une cohérence absolue, qu’une ferveur diffuse et omniprésente rend encore plus riche. Un grand disque Schumann assurément. »
Jean-Jacques Millo


Musique Classique & Co

« Dès Des Abends, première pièce de l’Op. 12,  on a affaire à une voix très personnelle, une lecture poétique et habitée alliée à une grande maîtrise musicale. Jamais déclamatoire ou brutal, il rend parfaitement les atmosphères si variées de ces pages de jeunesse. Un cycle que l’on remettrait bien sur sa platine ultérieurement, ce qui n’est finalement pas si fréquent. (…)
Un très beau disque Schumann et un pianiste “à suivre”. »
Thierry Vagne


Midi-Libre

« Le Concerto pour deux pianos de Mozart réunit deux jeunes talents, Adam Laloum et Emmanuel Christien, qui rivalisent d’invention et de sensibilité. Dans cet opus, écrit par Wolfgang pour jouer avec sa sœur Nannerl, qui mène le jeu entre trilles et mélodies ? Les solistes donnent dans la complicité sans rien perdre de leur personnalité, le premier plein de vivacité et d’humour, le second plus intérieur et philosophe. On fond de plaisir à les voir donner à Mozart tout leur cœur. Leur bis partagé met un comble au bonheur. »


Jean-Claude Pennetier
Festival Piano-Passion à Saint-Etienne

« J’ai rencontré ce jeune pianiste lors d’un stage à l’ Académie Maurice Ravel à Saint-Jean-de-Luz où il avait remporté le prix Maurice Ravel. J’ai tout de suite été frappé par la qualité de son jeu. Emmanuel ne fait pas encore beaucoup parler de lui mais il creusera son sillon, j’en suis certain ! Ce jeune pianiste doté d’une grande sensibilité fait preuve d’une probité artistique extrêmement rare. »


Irish Times
Dublin piano competition

« Emmanuel Christien (26, France) went for sobriety and maturity in Beethoven (the Sonata in E minor, Op. 90), Brahms (the Op. 10 Ballades) and two Debussy Études. In the context of so much vain display from other competitors, the effect was genuinely heart-warming. And his performance of Jennifer Walshe’s becher, a dizzying montage of micro-quotations from works familiar and unfamiliar (from her FASTER, FASTER, PUSSYCAT KILL KILL KILL! ), was a genuine tour-de-force. »


L’Humanité

« Mais le plus passionnant est de découvrir de très jeunes artistes dont il faudra retenir les noms. Ce fut le cas lors d’une « Nuit de la découverte » où se produisirent sur un très beau Beschtein trois artistes hexagonaux.(…) Emmanuel Christien interpréta avec raffinement une sonate de Beethoven, avec limpidité des pièces de Schumann, avec dynamisme une sonate de Prokofiev. »


Resmusica

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